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lundi 8 septembre 2025

Tu n’es pas ce qui t’est arrivé : retrouver son pouvoir intérieur

Une phrase qui libère

« Tu n’es pas ce qui t’est arrivé » : derrière ces quelques mots se cache une vérité puissante.
Les blessures, les trahisons, les épreuves ou les traumatismes font partie de notre histoire. Mais ils ne définissent pas notre identité profonde.
Il est possible de les reconnaître, de les traverser, puis de choisir comment continuer à vivre.

Reconnaître sa douleur : première étape de la guérison

Trop souvent, nous cherchons à minimiser ce que nous avons vécu :« Ce n’est pas si grave », « D’autres ont souffert plus que moi ».Or, chaque expérience douloureuse mérite d’être entendue.

Oser regarder sa douleur en face, l’exprimer en mots, en thérapie ou par l’écriture, est un acte de courage.


Séparer son identité de l’événement

Tu as pu être victime d’une trahison, d’un rejet, d’un abus, d’une perte. Mais cela ne dit pas toute la vérité de qui tu es. Ton identité ne se réduit pas à ton passé. Tu es plus vaste que ton histoire. Tu es la personne qui a survécu, qui avance, qui choisit.


Reprendre du pouvoir sur son histoire

Le passé ne peut être changé. Mais il peut être compris, intégré, et transformé en ressource. La thérapie joue ici un rôle essentiel : elle aide à décoder, à donner du sens et à se libérer des chaînes invisibles. Chaque prise de conscience est une victoire sur ce qui t’a blessé(e).


Nourrir son présent

Pour ne pas rester enfermé(e) dans le passé, il est essentiel de cultiver un quotidien qui apaise et nourrit. Quelques pistes :

  • pratiquer une activité créative (dessin, danse, écriture),

  • s’entourer de relations saines et soutenantes,

  • écouter son corps à travers le sport, la respiration ou le yoga,

  • s’autoriser des moments de plaisir et de douceur.


Se projeter dans l’avenir

L’avenir n’est pas écrit. Tu as le pouvoir de choisir les couleurs avec lesquelles tu veux peindre la suite de ton histoire. Ce qui t’est arrivé appartient au passé, mais ce que tu deviens t’appartient totalement.


En conclusion

Tu n’es pas ce qui t’est arrivé. Tu es la somme de tes choix, de tes rêves, de tes élans et de ta capacité à transformer tes blessures en force.


Ton passé n’est pas ton identité. Ton présent est ton terrain de liberté.

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